Dans moins de 4 mois, tous les travailleurs handicapés accueillis dans un établissement ou service d’aide par le travail (Esat) devront bénéficier d’une complémentaire santé financée en partie par l’employeur. Loin d’être une extension de la complémentaire santé généralisée à ces travailleurs au statut très particulier, cette nouvelle obligation revêt encore de trop nombreuses zones d’ombre. Les organismes complémentaireCeci est un contenu réservé aux abonnés.
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