La fusion entre Aon et Willis Towers Watson franchit une étape cruciale devant la Commission européenne. En effet, celle-ci autorise le projet de concentration à certaines conditions bien précises. Il ne s’agit là que d’un premier pas (certes important) vers l’aboutissement du projet. De fait, le volet états-unien du dossier est toujours entre les mains du département de la Justice à Washington.
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