En optant pour une “transposition fidèle et intégrale” dans la loi – pour reprendre les termes d’Olivier Dussopt, le ministre du Travail” – de l’accord national et interprofessionnel (ANI) sur le partage de la valeur ajoutée, l’exécutif a, une fois n’est pas coutume, respecté la volonté et les choix des partenaires sociaux.
Après la présentation en Conseil des ministres du projet de loi prévoyant cette transposition, la question mérite d’être posée de ses conséquences possibles sur le marché de l’épargne salariale.
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