Après les violences lors du Comité Central d’Entreprise d’Air France, hier, consacré à la présentation des mesures de restructuration de l’entreprise, plusieurs médias ont noyé le poisson en cherchant à mettre ces violences sur le compte d’une émotion collective liée aux suppressions d’emplois. Sur France Inter, une intervieweuse a même suggéré que ces violences étaient dues à la direction et à sa stratégie sociale…
Il serait dommage que les responsabilités personnelles ne soient pas éclaircies dans ce dossier. Selon certains témoins, les violences seraient dues à une organisation syndicale en particulier. A suivre.