La Dares a publié une nouvelle étude relative aux modes de recrutement et aux capacités d’action des structures pour l’insertion par l’activité économique.
Il en ressort que Pôle emploi ou le service social du conseil général sont très souvent sollicités par les ateliers et chantiers d’insertion et entreprises d’insertion qui souhaitent recruter.
La grande majorité des responsables de ces structures affirment qu’ils ont la possibilité de choisir qui ils recrutent. Pour eux, c’est surtout la mobilité des salariés qui peut poser problème, sans oublier leur accès aux droits et les difficultés d’endettement.
Pour être recruté par un atelier ou un chantier d’insertion, il faut que la personne soit sans emploi depuis plus d’un an ou qu’elle soit bénéficiaire de minima sociaux.
Pour les employeurs, cette réinsertion permet au salarié de se reconstruire personnellement et de stabiliser sa situation financière.