Cet article est paru initialement sur le site de l’organisation d’employeurs UPA.
A quelques mois d’échéances électorales majeures, le LAB UPA revêt cette année une couleur particulière : il s’agira d’interpeller les futurs candidats sur leurs engagements pour l’économie de proximité.
Le LAB 2016 offre une opportunité unique : soumettre les idées novatrices et les revendications réalistes que l’UPA veut voir traduites en actes concrets lors du prochain quinquennat. Avec l’objectif de porter sa vision en faveur des 1,3 million d’entreprises de proximité, l’UPA entend faire de ces deux journées organisées les 26 et 27 octobre au Palais Brongniard à Paris un moment fort.
Le 26 après-midi, les représentants de l’UPA seront réunis par leurs confédérations respectives (CAPEB, CNAMS, CGAD) avant de se retrouver en soirée. Ce sera alors le premier temps du LAB qui cette année encore sera consacré aux « bonnes pratiques » des organisations professionnelles affiliées à l’UPA. Une série d’initiatives positives seront ainsi présentées en vue de les partager et de permettre aux autres organisations de s’en inspirer.
Le lendemain matin, le LAB accueillera un public plus large qui pourra assister à trois débats entre des personnalités de premier plan et le Président et les Vice-Présidents de l’UPA. Ensemble, ils échangeront sur des enjeux clés tels que la notion de « concurrence loyale », la réforme du code du travail, ou encore la fracture entre les gouvernants et les entreprises de proximité. Jean-Pierre Crouzet accueillera ainsi l’ancienne ministre Roselyne Bachelot mais également l’essayiste Agnès Verdier Molinié ainsi que l’économiste Daniel Cohen.
En point d’orgue, le livre blanc de l’UPA sera révélé : 13 propositions, à la fois réalistes et novatrices, pour nourrir les programmes politiques des candidats à l’élection présidentielle.