Cette publication provient du site de l’UPA.
Réunis le 17 septembre, les membres du Conseil National de l’UPA ont fini d’adopter une série de modifications relatives aux statuts de l’organisation et à son règlement intérieur. Si les principes fondateurs sont inchangés, des évolutions notables sont à souligner.
Les nouveaux statuts confortent un mode de gouvernance efficace et transparent garantissant la juste représentation des branches professionnelles qui composent l’UPA.
La règle de l’alternance entre les trois confédérations membres de l’UPA (CAPEB-CNAMS-CGAD) est réaffirmée, de même que le principe « un homme, un mandat ». Ainsi, le mandat de président de l’UPA est non renouvelable et non cumulable avec la présidence d’une confédération membre.
La durée du mandat (jusqu’alors limitée à 3 ans) est portée à 4 ans, afin d’être plus en phase avec les durées de mandat pratiquées dans la plupart des institutions et de permettre une plus grande visibilité médiatique aux présidents successifs. Ce changement intervenant dès le mandat en cours, Jean-Pierre-Crouzet poursuivra son mandat de président de l’UPA jusqu’en janvier 2017.
Les Vice-présidents de l’UPA héritent chacun d’un domaine d’intervention spécifique et sont ainsi renforcés dans leurs missions. Pierre Martin, 1er Vice-président de l’UPA, pilotera le réseau des UPA territoriales, Patrick Liebus, 2ème Vice-président sera en charge du dialogue social et de la négociation paritaire, et Christian Le Lann, 3ème Vice-président, dirigera la réflexion sur les questions d’entrepreneuriat et de prospective.
Le réseau des 115 UPA territoriales suivra le même chemin. D’ores et déjà, le processus de modernisation des UPA de région est engagé ; il aboutira dès 2016 à la mise en place de 13 représentations régionales prêtes à travailler avec les 13 nouveaux préfets et conseils régionaux.
A l’issue des débats sur les nouveaux statuts de l’UPA et des UPA territoriales, le président de l’UPA a déclaré : « Nous voilà prêts pour orienter les choix économiques et sociaux. J’invite d’ores et déjà les décideurs et les médias à mieux entendre la voix des 1.300.000 entreprises de proximité, soit 40% du total des entreprises du pays ».