Comme nous en avons fait état hier dans nos colonnes, la députée Renaissance Astrid Panosyan-Bouvet, par ailleurs membre de la commission des affaires sociales à l’Assemblée Nationale, vient de déposer une proposition de loi – cosignée par trente députés Renaissance, Horizons et Modem – visant à généraliser à tous les salariés non cadres la couverture en matière de prévoyance collective en mettant sur pied, sur le modèle de l’accord national et interprofessionnel (ANI) frais de santé de 2013, un ANI prévoyance.
Si, à première vue, cette proposition de loi en faveur d’un ANI prévoyance paraît positive aussi bien pour le monde du travail que pour les assureurs, à y regarder d’un peu plus près, la séquence politique et sociale particulière durant laquelle elle intervient contraint à s’interroger sur son objectif réel – et ses perspectives.
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