La vente à la découpe de Gras-Savoye, conséquence collatérale du rapprochement d’AON et de Willis Towers Watson, illustre les risques auxquels le “grand” courtage français s’expose en jouant avec le feu des grands fonds transnationaux. Si les opérations financières que ces fonds permettent sont juteuses pour les dirigeants, elles transforment toutefois les entités françaises en variables d’ajustementCeci est un contenu réservé aux abonnés.
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