Ces derniers mois, la situation économique et financière d’Atos, qui se veut être “le leader mondial de la transformation numérique”, suscite un vif débat public qui intéresse jusqu’au plus haut niveau de l’Etat – étant donné le rôle joué par ce groupe dans les systèmes d’information les plus stratégiques et vitaux du pays.
En interne, ces perspectives économiques et financières difficiles emportent une dégradation des relations sociales. Le mauvais tour pris par la renégociation du régime santé Malakoff Humanis qui bénéficie aux salariés d’Atos en témoigne par exemple.
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