Les Echos l’ont annoncé en fin de semaine dernière : contrairement à ce que ses dirigeants laissaient entendre ces dernières semaines, Force Ouvrière ne sera finalement pas signataire de l’accord national interprofessionnel sur la formation professionnelle finalisé en octobre dernier.
Rendant compte de cette décision, qui doit être officialisée aujourd’hui, le quotidien économique fait référence à des “luttes intestines”, liées au sort d’Yves Veyrier à la tête de l’organisation, bien plutôt qu’à des appréciations relatives au texte de l’ANI en lui-même. Quoi qu’il en soit, le refus de FO de parapher ce texte se traduit par le fait qu’il l’est, côté salarial, par la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC.