Dans la métallurgie, les relations sociales entre l’UIMM, qui représente les employeurs de la branche, et ses trois partenaires syndicaux de compromis : la CFDT, la CFE-CGC et FO, ne semblent pas vraiment être au beau fixe ces derniers temps.

Très remontées contre une interprétation patronale de l’article 140 de la CCN unifiée de la métallurgie, qui régit les minima salariaux, les trois organisations syndicales ont décidé de porter l’affaire en justice.
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