Il y a peu, nous faisions état du départ pas tout à fait attendu de Didier Weckner de la coprésidence de l’AGIRC-ARRCO, ainsi que de ses causes, évoquant dans ce cadre la survenue d’un conflit gestionnaire entre la fédération de la retraite complémentaire et l’une de ses composantes, l’Alliance Pro.

La montée des tensions entre l’AGIRC-ARRCO et l’Alliance Pro – ou plutôt, en réalité, le membre le plus influent de cette alliance : Pro-BTP – procèderait notamment d’un problème épineux de financement du paritarisme.
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