L’affaire avait fait grand bruit au printemps dernier, jusque dans la presse quotidienne nationale : dans le cadre d’une révision plus générale des règles relatives aux temps de travail et de pause, la direction de Pro-BTP avait jugé opportun d’annoncer qu’au-delà de la dixième minute, les « pauses pipi » ne seraient plus considérées comme du temps de travail et donc, ne seraient plus rémunérées.

Comme il fallait s’y attendre, la mise en œuvre de cette proposition tonitruante de Pro-BTP tourne à la farce.
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