Les observateurs se sont amusés des conclusions internes auxquelles la CGT est parvenue dans son enquête sur les travaux commandés en leur temps par Thierry Lepaon et qui ont conduit à sa mise sur la touche. Pour la CGT, Thierry Lepaon n’était au courant de rien, a découvert après-coup les travaux payés par son administrateur de l’époque, et se trouve victime d’une diffusion malicieuse de documents internes à la presse. Le rapport, présenté par l’actuelle administratrice, Colette Duynslaeger (fidèle de Lepaon), n’a surpris personne. Il permet à Martinez de blanchir un Lepaon à qui il doit son arrivée au secrétariat général du syndicat.
Suffira-t-il à calmer le trouble suscité par l’affaire? C’est une toute autre paire de manches…