Au début de l’année, les représentants patronaux et salariaux des bureaux d’études techniques et sociétés de conseils ont ouvert des discussions paritaires portant sur la refonte de leur régime conventionnel de frais de santé.
Après quelques mois d’échanges sur ce thème, il apparaît qu’il n’a guère inspiré les partenaires sociaux des bureaux d’études.
Conforter l’équilibre des comptes santé des bureaux d’études
Si, à l’occasion de leurs réunions paritaires qui ont eu lieu cette année, les représentants des bureaux d’études ont quelque peu échangé de l’évolution régime de frais de santé, c’est en réalité surtout dans le cadre d’un groupe de travail spécifique qu’ils en ont le plus discuté. Ces débats ont visé à définir les conditions générales d’une consolidation de l’équilibre comptable global de la mutualisation – détérioré, pour rappel, aux dernières nouvelles, par les résultats des régimes optionnels, très répandus dans la branche – qui ne risque pas de remettre en cause la progression de son périmètre. A la différence de la manière dont les partenaires sociaux avaient appréhendé cette question l’an passé, lorsqu’ils s’étaient contentés d’opérer des augmentations des cotisations au régime, ils étaient convenus, cette fois-ci, d’aborder les choses de manière plus structurelle, en repensant l’organisation générale de la mutualisation.
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