Dans les quelques énigmes de notre époque, l’acharnement que Thierry Lepaon met à garder son poste de secrétaire général de la CGT, en dépit des contestations dont il fait l’objet, figure en bonne place. A part un immense ressentiment contre l’organisation qui le rejette, rien ne peut justifier cette obstination qui affaiblit à ce point le premier syndicat français. A l’issue du comit&eacut Vous pouvez débloquer cet article en utilisant un jeton pour 30,53 € TTC soit 29,90 € HT.Ceci est un contenu réservé aux abonnés.
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